mardi 13 mars 2018


Comment tirer parti de l'hyperconvergence pour les bases de données et les applications d'entreprise de niveau 1

Nous vivons dans un monde où les données sont devenues essentielles. À mesure que leur croissance s'accélère de façon exponentielle, les bases de données, qui aident les entreprises à gérer le chaos, prennent elles aussi de plus en plus d'importance. Dans le même temps, les entreprises cherchent à réduire leurs coûts et à simplifier l'infrastructure sur laquelle reposent ces bases de données. C'est là que les infrastructures hyperconvergées entrent en scène.
Ces solutions se sont avérées précieuses pour les infrastructures de type VDI (virtual desktop infrastructure) ou les petites applications à faible charge. Les entreprises ont bénéficié de leur grande efficacité opérationnelle et des économies qui les accompagnent. Mais qu'en est-il pour les systèmes de bases de données d'entreprise et des applications associées qui exigent des niveaux élevés d'E/S et qui ont du mal à dépasser le stade de l'hôte unique ? Dans de tels cas, comment tirer parti d'une infrastructure hyperconvergée ?
Décupler les performances de l'hyperconvergence
Les systèmes d'infrastructures hyperconvergées présentent des caractéristiques de performances intéressantes imposées par l'architecture : les nœuds qui génèrent les charges d'E/S sont ceux qui doivent gérer ces charges. Or, même si certains éléments peuvent peser sur les performances globales des charges de travail, les goulots d'étranglement qui réduisent les performances des applications viennent en général des E/S.
La façon la plus courante de bénéficier instantanément d'un gain de vitesse consiste à remplacer les disques rotatifs par des périphériques flash flambant neufs. On peut certes opter pour le tout-flash mais, bien souvent, le problème ne tient pas au type de support. N'oublions pas non plus qu'un lecteur SSD de 4 To coûte 10 fois plus cher qu'un disque dur d'entreprise de même taille. Il faut également noter que le support de stockage ne peut pas enregistrer les données plus vite qu'il ne les reçoit du processeur (ou de l'hôte). Si vous êtes victime de goulots d'étranglement qui se situent, non pas sur le périphérique de stockage, mais quelque part ailleurs dans le système, vous devrez quand même trouver le moyen de les éliminer avant de pouvoir bénéficier de tous les avantages attendus, même si vous vous équipez entièrement en technologie flash. Il n'y a probablement rien de pire que d'avoir installé du flash partout et de ne constater qu'une augmentation de performances modeste parce qu'il existe un goulot d'étranglement d'un autre type dans votre environnement.
Remplacer les éléments du système par des modèles plus puissants est également un moyen de surmonter les problèmes de performance des charges de travail, mais cela ne suffit pas en soi. Vous pouvez ajouter toute la mémoire RAM, tous les périphériques flash et tous les processeurs du monde, cela risque d'être encore insuffisant. Toutes les charges de travail ne peuvent pas bénéficier d'une puissance supplémentaire si des goulots d'étranglement subsistent ailleurs dans le système.
Parallel I/O, une solution gagnante
Pour finir, vous devrez régler le problème de la latence, championne toutes catégories de la réduction des performances des charges de travail. Si tous les voyants de votre système semblent être au vert de votre côté, mais que les choses traînent du côté de l'utilisateur final, vous allez avoir un problème. Les conséquences d'une latence médiocre sont assez lourdes et c'est là que les logiciels peuvent vous venir en aide.
DataCore peut vous aider à résoudre certains des problèmes de performances de vos bases de données et des applications associées en transférant les données au périphérique de stockage situé dans le nœud à travers de multiples canaux grâce à sa technologie Parallel I/O, comprise dans notre logiciel Hyperconverged Virtual SAN. Cette technologie contribue à écrire les données beaucoup plus vite et à tirer des performances nettement supérieures de la solution globale.


Aucun commentaire: